Gastronomie • Coups de Coeur
Cuisine du monde au Mondrian
Métamorphose à Cannes pour le Grand Hôtel qui devient le Mondrian et lance sa nouvelle table, "Mr Nakamoto" sur une carte très voyageuse...
En retrait de la Croisette et bénéficiant d’un jardin de 4000m2, le Grand Hôtel était le plus ancien (1853) du bord de mer cannois. Reconstruit et rénové à de multiples reprises, il s’appelle aujourd’hui "Mondrian", la nouvelle marque "Lifestyle premium" du groupe Accor. Toujours dirigée par Hughes Raybaud, la maison qui compte 75 chambres aux inspirations Art déco, a entièrement revu son offre de restauration sous le concept de "Mr Nakamoto". Comme c’est désormais très courant (voir l’Anantara à Nice...), on y retrouve une cuisine "mondialisée" capable de séduire la clientèle internationale visée ici. Un peu de japonais, des ceviches d’Amérique du Sud, une touche italienne et des plats méditerranéens : le tour est joué !
C’est le chef londonien Alex Craciun qui a imaginé la carte, bien mise en musique par Hervé Busson, chef de cuisine arrivé au Grand hôtel voilà une dizaine d’années, et Jean-Baptiste Guillaume, qui travaillait au Hyde Beach, le restaurant-plage de l’hôtel.
On a bien aimé en entrée les beignets de petit brocoli, épices de poudre de kimchi et parmesan, les artichauts, parmesan, truffe noire ou l’assiette de sashimi très frais. En plat, l’incontournable (et bon) Black Cod est ici servi avec une glace au miso, laitue grillée et noix de pécan grillées alors que l’entrecôte d’Angus sauce chimichuri est de belle qualité. Mais on pourra aussi apprécier le poulet Karaage, les linguine de homard au bouillon japonais, les gambas au beurre noisette et fenouil râpé ou le poulet rôti, sauce miso.
Au dessert, l’excellent entremet chocolat/pistache et mochi au thé macha conclura le repas sur une jolie note. C’est bien sûr en terrasse que l’on appréciera le mieux cette cuisine ensoleillée mais la salle à manger, rénovée comme le reste de l’hôtel par le cabinet d’architecture franco-brésilien Triptyque, sera aussi un cocon parfait.
En retrait de la Croisette et bénéficiant d’un jardin de 4000m2, le Grand Hôtel était le plus ancien (1853) du bord de mer cannois. Reconstruit et rénové à de multiples reprises, il s’appelle aujourd’hui "Mondrian", la nouvelle marque "Lifestyle premium" du groupe Accor. Toujours dirigée par Hughes Raybaud, la maison qui compte 75 chambres aux inspirations Art déco, a entièrement revu son offre de restauration sous le concept de "Mr Nakamoto". Comme c’est désormais très courant (voir l’Anantara à Nice...), on y retrouve une cuisine "mondialisée" capable de séduire la clientèle internationale visée ici. Un peu de japonais, des ceviches d’Amérique du Sud, une touche italienne et des plats méditerranéens : le tour est joué !
C’est le chef londonien Alex Craciun qui a imaginé la carte, bien mise en musique par Hervé Busson, chef de cuisine arrivé au Grand hôtel voilà une dizaine d’années, et Jean-Baptiste Guillaume, qui travaillait au Hyde Beach, le restaurant-plage de l’hôtel.
On a bien aimé en entrée les beignets de petit brocoli, épices de poudre de kimchi et parmesan, les artichauts, parmesan, truffe noire ou l’assiette de sashimi très frais. En plat, l’incontournable (et bon) Black Cod est ici servi avec une glace au miso, laitue grillée et noix de pécan grillées alors que l’entrecôte d’Angus sauce chimichuri est de belle qualité. Mais on pourra aussi apprécier le poulet Karaage, les linguine de homard au bouillon japonais, les gambas au beurre noisette et fenouil râpé ou le poulet rôti, sauce miso.
Au dessert, l’excellent entremet chocolat/pistache et mochi au thé macha conclura le repas sur une jolie note. C’est bien sûr en terrasse que l’on appréciera le mieux cette cuisine ensoleillée mais la salle à manger, rénovée comme le reste de l’hôtel par le cabinet d’architecture franco-brésilien Triptyque, sera aussi un cocon parfait.
Entrées et salades de 19€ à 27€, plats de 27€ à 68€.