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Coupe du monde féminine de foot : « Dare to shine »

Il est temps de se préparer, le coup d’envoi sera donné le 7 juin prochain et Nice s’apprête à accueillir six matches dont un huitième de finale, le 22 juin et le match pour la 3ème place, le 6 juillet. Tour d’horizon des infos à retenir sur cette 8e édition de la Coupe du monde féminine de football.

Tandis que les joueuses ajustent leurs crampons, les fans se préparent à assister au sacre de la meilleur équipe de football féminin mondial. Tout va se jouer du 7 juin au 7 juillet 2019 et au total ce sont 24 équipes nationales qui vont se rencontrer dans neuf villes de l’hexagone. On note que c’est la première fois de son histoire que la France organise la coupe du monde féminine. De l’Australie à l’Espagne en passant par la Jamaïque, le Japon et la Suède, l’élite du football planétaire va se donner rendez-vous en France, et c’est au Parc des Princes à Paris que le match d’ouverture aura lieu. Lors de cette soirée la France affrontera la République de Corée à 21h, une rencontre retransmise sur TF1 et Canal +. Avec pour slogan « ose briller » - « dare to shine » en anglais, on note que cet événement majeur organisé par la FIFA permettra également aux trois meilleures équipes UEFA d’être directement qualifiées pour les Jeux Olympiques de Tokyo 2020. « Je pense que cette Coupe du Monde Féminine sera la plus rapide de l’histoire, notamment au niveau de l’exécution technique et tactique des transitions à la récupération ou à la perte du ballon », explique April Heinrichs, l’ex sélectionneuse de l’équipe américaine, championne olympique en 2004.

Top 3 des joueuses mondiales
Si vous êtes en quête de belles actions sportives, c’est sans nul doute la Brésilienne Marta Vieira da Silva qu’il faut suivre de près. Nommée « meilleure joueuse de l’année FIFA » à six reprises, elle est considérée comme la plus grande footballeuse de tous les temps. Attaquante à Orlando Pride aux États-Unis, elle a marqué 110 buts avec la sélection brésilienne. C’est plus que Pelé, avec qui elle est souvent comparée pour ses passements de jambes. Capitaine de la sélection allemande, Dzsenifer Marozsan la n°10 est née en Hongrie, il y a seulement 26 ans. Surnommée « Maro », cette meneuse de jeu hors pair a remporté l’Euro en 2013, les Jeux Olympiques en 2016 ainsi que deux Ligues des Champions avec l’OL et Francfort. Enfin, Amandine Henry la capitaine des Blues ne rêve que d’une chose : remporter le Mondial chez elle, en France. À 29 ans, la joueuse de l’OL vient « d’une famille de footeux », comme elle le dit elle-même.


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