Gastronomie • Coups de Coeur
Monsigny : Garnier à la relance
Chef expérimenté, Pierre Alain Garnier vient de reprendre les cuisines de l’hôtel niçois avec une nouvelle carte de bistrot chic.
Très bien situé au cœur du quartier de la Libération, avec son marché provençal animé, ses cinémas et le tram, l’hôtel Monsigny (100 chambres) achève une importante rénovation qui concerne désormais la cuisine avec l’arrivée depuis décembre de Pierre Alain Garnier, un chef auvergnat passé par les Brasseries du Printemps à Paris et Georges à Nice, le Monte Carlo Bay, l’Impérial Garoupe à Antibes, l’Hôtel de Paris à Saint-Tropez et Lily of the Valley à La Croix Valmer.
Le restaurant "La Verrière" porte bien son nom : le cadre est très agréable, sans parler du roof-top qui domine la ville et qui sera un lieu convivial recherché aux beaux jours. C’est à La Verrière que Garnier propose désormais une cuisine traditionnelle qui rend hommage aux produits de saison et à la région.
En plus de propositions snaking et "finger food" (excellents croque à la truffe et comté ou cœur de saumon fumé de la maison Le Borvo), la carte livre quelques pistes gourmandes comme la bonite juste grillée, condiment vitello et parmesan, comme les saint jacques saisies, chou-fleur cuit et cru, comme la volaille et sa poêlée de champignons et gnocchi, réduction aux étrilles, ou comme la selle d’agneau au romarin et polenta crémeuse... Même tonalité au dessert avec la poire Passe-crassane ou le tiramisu, cœur coulant au caramel, whisky et glace café. De plus chaque jour a son plat spécial : excellente daube de bœuf à la provençale et ses gnocchis le lundi, blanquette de veau le jeudi ou excellent pavé de cabillaud, légumes et nuage d’aïoli le vendredi.
Saveurs, cuisine lisible et prix sages : voilà une table qui mérite l’attention.
Très bien situé au cœur du quartier de la Libération, avec son marché provençal animé, ses cinémas et le tram, l’hôtel Monsigny (100 chambres) achève une importante rénovation qui concerne désormais la cuisine avec l’arrivée depuis décembre de Pierre Alain Garnier, un chef auvergnat passé par les Brasseries du Printemps à Paris et Georges à Nice, le Monte Carlo Bay, l’Impérial Garoupe à Antibes, l’Hôtel de Paris à Saint-Tropez et Lily of the Valley à La Croix Valmer.
Le restaurant "La Verrière" porte bien son nom : le cadre est très agréable, sans parler du roof-top qui domine la ville et qui sera un lieu convivial recherché aux beaux jours. C’est à La Verrière que Garnier propose désormais une cuisine traditionnelle qui rend hommage aux produits de saison et à la région.
En plus de propositions snaking et "finger food" (excellents croque à la truffe et comté ou cœur de saumon fumé de la maison Le Borvo), la carte livre quelques pistes gourmandes comme la bonite juste grillée, condiment vitello et parmesan, comme les saint jacques saisies, chou-fleur cuit et cru, comme la volaille et sa poêlée de champignons et gnocchi, réduction aux étrilles, ou comme la selle d’agneau au romarin et polenta crémeuse... Même tonalité au dessert avec la poire Passe-crassane ou le tiramisu, cœur coulant au caramel, whisky et glace café. De plus chaque jour a son plat spécial : excellente daube de bœuf à la provençale et ses gnocchis le lundi, blanquette de veau le jeudi ou excellent pavé de cabillaud, légumes et nuage d’aïoli le vendredi.
Saveurs, cuisine lisible et prix sages : voilà une table qui mérite l’attention.
Carte et formules à 30, 35 et 45€ • Plat du jour à 14€ (17€ avec café gourmand)