Art & Culture • Monaco
Sportel a repris son rythme !
Rendez-vous incontournable du sport télé, la 33e édition du Sportel Monaco a connu un beau succès : premier bilan et perspectives avec son directeur général Laurent Puons
- Laurent Puons, quels enseignements pouvez-vous titrer de ce Sportel 2023 ?
Un bilan positif, avec environ 2 000 participants, 800 sociétés présentes qui viennent de 72 pays : à savoir 70 % d’Européens, 18 % d’Américains et 10 % d’Asiatiques. C’est mieux que l’an dernier où nous subissions encore un peu les suites de l’épidémie de Covid. Mais cette année, tous les "gros" étaient là et nous avons retrouvé notre rythme de croisière !
- Mais on n’a pas vu les opérateurs comme Canal +, Amazon, Bein ou DZN ?
Effectivement, ils n’avaient pas de stands d’exposition, mais leurs représentants étaient bien présents dans les négociations. En fait, cela dépend de leurs stratégies de communication, qui peuvent varier d’une année sur l’autre. Et ce qui est important pour nous, c’est d’accueillir de nouvelles sociétés, qui sont de nouvelles opportunités d’affaires sur notre marché.
- Les Asiatiques de plus en plus présents ?
On le constate effectivement, et cela est sans doute dû au Sportel Bali qui a attiré de nouvelles sociétés vers Monaco. D’ailleurs, à ce jour, la marque "Sportel Rendez-vous" se porte bien : nous avons renouvelé l’édition de Bali pour février prochain, et nous serons en mai à Buenos Aires pour une première présence en Amérique du Sud, car Miami ne sera pas reconduite. Nous avons constaté que la participation de l’Amérique du Sud à Monaco était faible. L’objectif est donc de développer cette zone et de regrouper les deux Amériques en Argentine. Nous sommes désormais accompagnés par des investisseurs qui couvrent une grande partie des frais d’organisation. Ces rendez-vous reproduisent d’ailleurs le modèle de Monaco avec hall d’exposition et conférences-débats de haut niveau.
- Portez-vous un œil sur un possible développement au Proche-Orient ?
Rien n’est encore signé, mais effectivement, nous avons des contacts et des discussions avec le Bahreïn, le Qatar ou l’Arabie saoudite qui sont intéressés par notre venue. Il est vrai que le sport TV explose dans ces pays.
- Votre avis sur le dernier Festival TV, que Monaco Mediax organise également ?
La dernière édition, en juin, s’est très bien déroulée avec une belle participation internationale, une presse de qualité et plusieurs avant-premières. Chaque année, c’est une plateforme idéale pour les studios, les chaînes et les créateurs.Évidemment, les années Covid ont été un moment difficile pour tout le monde, mais nous avons tout de même réussi à organiser les Sportel Awards en 2020, la seule manifestation à Monaco…
- Laurent Puons, quels enseignements pouvez-vous titrer de ce Sportel 2023 ?
Un bilan positif, avec environ 2 000 participants, 800 sociétés présentes qui viennent de 72 pays : à savoir 70 % d’Européens, 18 % d’Américains et 10 % d’Asiatiques. C’est mieux que l’an dernier où nous subissions encore un peu les suites de l’épidémie de Covid. Mais cette année, tous les "gros" étaient là et nous avons retrouvé notre rythme de croisière !
- Mais on n’a pas vu les opérateurs comme Canal +, Amazon, Bein ou DZN ?
Effectivement, ils n’avaient pas de stands d’exposition, mais leurs représentants étaient bien présents dans les négociations. En fait, cela dépend de leurs stratégies de communication, qui peuvent varier d’une année sur l’autre. Et ce qui est important pour nous, c’est d’accueillir de nouvelles sociétés, qui sont de nouvelles opportunités d’affaires sur notre marché.
- Les Asiatiques de plus en plus présents ?
On le constate effectivement, et cela est sans doute dû au Sportel Bali qui a attiré de nouvelles sociétés vers Monaco. D’ailleurs, à ce jour, la marque "Sportel Rendez-vous" se porte bien : nous avons renouvelé l’édition de Bali pour février prochain, et nous serons en mai à Buenos Aires pour une première présence en Amérique du Sud, car Miami ne sera pas reconduite. Nous avons constaté que la participation de l’Amérique du Sud à Monaco était faible. L’objectif est donc de développer cette zone et de regrouper les deux Amériques en Argentine. Nous sommes désormais accompagnés par des investisseurs qui couvrent une grande partie des frais d’organisation. Ces rendez-vous reproduisent d’ailleurs le modèle de Monaco avec hall d’exposition et conférences-débats de haut niveau.
- Portez-vous un œil sur un possible développement au Proche-Orient ?
Rien n’est encore signé, mais effectivement, nous avons des contacts et des discussions avec le Bahreïn, le Qatar ou l’Arabie saoudite qui sont intéressés par notre venue. Il est vrai que le sport TV explose dans ces pays.
- Votre avis sur le dernier Festival TV, que Monaco Mediax organise également ?
La dernière édition, en juin, s’est très bien déroulée avec une belle participation internationale, une presse de qualité et plusieurs avant-premières. Chaque année, c’est une plateforme idéale pour les studios, les chaînes et les créateurs.Évidemment, les années Covid ont été un moment difficile pour tout le monde, mais nous avons tout de même réussi à organiser les Sportel Awards en 2020, la seule manifestation à Monaco…