Art & Culture • Monaco
Olivia Dorato, Chanteuse Pop made in Monaco
Fête de la musique, Thursday Live Session au Grimaldi Forum, MC Summer Concert… De retour sur les ondes avec deux nouveaux titres, la chanteuse monégasque Olivia Dorato est une habituée des scènes de la Principauté et à seulement 22 ans, elle est en pleine préparation de son troisième album.
> Comment est née votre vocation ?
Toute petite, j’ai naturellement été attirée par la musique. Je pratiquais de la guitare puis du piano et j’ai commencé à écrire et composer mes premières chanson à l’âge de 10 ans. Quand mes parents ont découvert mes compositions, ils m’ont tout de suite encouragé et j’ai enregistré mon premier album Heartbroken dans le studio d’enregistrement d’un ami de mon père.
> Devenir chanteuse professionnelle a toujours été votre objectif ?
Lorsque ce premier album est sorti, j’ai tout de suite su que c’était ma voie. J’ai fait un concert au Théâtre des Variétés à Monaco et tous mes amis ont découvert cette partie de moi qu’ils ne connaissaient pas forcément. Je n’aime pas trop me mettre en avant mais sur scène je suis dans mon élément. Cette année-là, j’ai vécu des moments incroyables en participant au Festival Aluna en Ardèche et en réalisant la première partie de Gilbert Montagné. Les spectateurs ont été merveilleux. Ils ont vraiment fait le show en reprenant les refrains de mes chansons. C’est l’un de mes meilleurs souvenirs ! J’adore échanger avec les gens. Je suis toujours très touchée d’apprendre que mes chansons ont pu les aider.
> Vous avez toujours souhaité allier la musique et vos études…
Oui, c’était primordial. J’étais en 1ère au lycée quand j’ai composé mon second album Fizzy, toujours en auto-production. Ce n’est pas simple, mais épaulée par mes parents, je me suis donnée les moyens d’y arriver. L’année suivante, j’obtenais mon Bac et il a fallu prendre une décision. Je ne voulais pas me lancer totalement dans une carrière musicale, sans avoir de plan B. Je suis donc entrée en Fac de droit et j’ai travaillé très dur pendant 3 ans afin de valider ma licence.
> Pourriez-vous nous parler de vos derniers titres No Future et Behind the Wall ?
Le premier est sorti en novembre 2019 et il parle avec humour et dérision des mecs un peu lourds qui ne comprennent pas que l’on est pas intéressé (rires). C’est bien sûr à prendre avec humour. Et le second Behind the Wall est sorti en mars dernier, pendant le confinement. Au début j’ai un peu hésité compte tenu de l’actualité, mais finalement je me suis dit que cela pouvait apporter de la joie et du réconfort aux gens. Ce titre parle d’une histoire d’amour et évoque les difficultés que l’on peut ressentir à exprimer ses sentiments. Et encore une fois, tout le monde peut interpréter les paroles à sa façon.
> Comment décririez-vous votre style musical ?
A la base c’était du Pop Rock dépressif (rires). Et avec le temps, je me suis orientée vers des sonorités plus joyeuses et les tendances actuelles comme l’électro. Mes derniers single sont 100% Pop avec quelques influences Groove, Funk que j’intègre aux mélodies pour créer mon propre style. Je m’inspire d’artistes comme Justin Bieber - notamment pour la qualité de ses productions - ou encore Billie Eilish dont j’apprécie surtout l’originalité et l’atmosphère unique qu’elle imagine. C’est très différent.
> Pourriez-vous nous parler de vos engagements caritatifs ?
Je soutiens plusieurs association, et notamment celles liées au diabète étant moi-même DT1 (Diabétique de Type 1). Là, je me sens utile et je montre aux jeunes diabétiques qu’ils peuvent réaliser leurs rêves. Je me produits souvent pour l’AJD (Aide aux Jeunes Diabétiques). Je soutiens également la lutte contre les cancers pédiatriques et les maladies rares auprès de la fondation Flavien. Et je suis l’une des ambassadrices de l’association Les amis du Liban qui vient en aide aux enfants là-bas. Je me rends utile au minimum une fois par an à leurs côtés.
> Quels sont vos projets ?
Je suis actuellement en studio pour enregistrer mon troisième album qui devrait sortir à l’automne prochain. La sortie a été repoussée à cause du Covid-19. Au niveau musical, j’ai encore évolué et le résultat allie des sonorités sombres et des tonalités Funk, Groove ou même années 80. Mes chansons reviennent sur les 4 années qui viennent de s’écouler : la Fac et les épreuves que j’ai dû surmonter. A travers ces titres, je veux montrer aux gens que la vie n’est ni belle, ni moche mais qu’elle est simplement comme on décide de la voir !
> Comment est née votre vocation ?
Toute petite, j’ai naturellement été attirée par la musique. Je pratiquais de la guitare puis du piano et j’ai commencé à écrire et composer mes premières chanson à l’âge de 10 ans. Quand mes parents ont découvert mes compositions, ils m’ont tout de suite encouragé et j’ai enregistré mon premier album Heartbroken dans le studio d’enregistrement d’un ami de mon père.
> Devenir chanteuse professionnelle a toujours été votre objectif ?
Lorsque ce premier album est sorti, j’ai tout de suite su que c’était ma voie. J’ai fait un concert au Théâtre des Variétés à Monaco et tous mes amis ont découvert cette partie de moi qu’ils ne connaissaient pas forcément. Je n’aime pas trop me mettre en avant mais sur scène je suis dans mon élément. Cette année-là, j’ai vécu des moments incroyables en participant au Festival Aluna en Ardèche et en réalisant la première partie de Gilbert Montagné. Les spectateurs ont été merveilleux. Ils ont vraiment fait le show en reprenant les refrains de mes chansons. C’est l’un de mes meilleurs souvenirs ! J’adore échanger avec les gens. Je suis toujours très touchée d’apprendre que mes chansons ont pu les aider.
> Vous avez toujours souhaité allier la musique et vos études…
Oui, c’était primordial. J’étais en 1ère au lycée quand j’ai composé mon second album Fizzy, toujours en auto-production. Ce n’est pas simple, mais épaulée par mes parents, je me suis donnée les moyens d’y arriver. L’année suivante, j’obtenais mon Bac et il a fallu prendre une décision. Je ne voulais pas me lancer totalement dans une carrière musicale, sans avoir de plan B. Je suis donc entrée en Fac de droit et j’ai travaillé très dur pendant 3 ans afin de valider ma licence.
> Pourriez-vous nous parler de vos derniers titres No Future et Behind the Wall ?
Le premier est sorti en novembre 2019 et il parle avec humour et dérision des mecs un peu lourds qui ne comprennent pas que l’on est pas intéressé (rires). C’est bien sûr à prendre avec humour. Et le second Behind the Wall est sorti en mars dernier, pendant le confinement. Au début j’ai un peu hésité compte tenu de l’actualité, mais finalement je me suis dit que cela pouvait apporter de la joie et du réconfort aux gens. Ce titre parle d’une histoire d’amour et évoque les difficultés que l’on peut ressentir à exprimer ses sentiments. Et encore une fois, tout le monde peut interpréter les paroles à sa façon.
> Comment décririez-vous votre style musical ?
A la base c’était du Pop Rock dépressif (rires). Et avec le temps, je me suis orientée vers des sonorités plus joyeuses et les tendances actuelles comme l’électro. Mes derniers single sont 100% Pop avec quelques influences Groove, Funk que j’intègre aux mélodies pour créer mon propre style. Je m’inspire d’artistes comme Justin Bieber - notamment pour la qualité de ses productions - ou encore Billie Eilish dont j’apprécie surtout l’originalité et l’atmosphère unique qu’elle imagine. C’est très différent.
> Pourriez-vous nous parler de vos engagements caritatifs ?
Je soutiens plusieurs association, et notamment celles liées au diabète étant moi-même DT1 (Diabétique de Type 1). Là, je me sens utile et je montre aux jeunes diabétiques qu’ils peuvent réaliser leurs rêves. Je me produits souvent pour l’AJD (Aide aux Jeunes Diabétiques). Je soutiens également la lutte contre les cancers pédiatriques et les maladies rares auprès de la fondation Flavien. Et je suis l’une des ambassadrices de l’association Les amis du Liban qui vient en aide aux enfants là-bas. Je me rends utile au minimum une fois par an à leurs côtés.
> Quels sont vos projets ?
Je suis actuellement en studio pour enregistrer mon troisième album qui devrait sortir à l’automne prochain. La sortie a été repoussée à cause du Covid-19. Au niveau musical, j’ai encore évolué et le résultat allie des sonorités sombres et des tonalités Funk, Groove ou même années 80. Mes chansons reviennent sur les 4 années qui viennent de s’écouler : la Fac et les épreuves que j’ai dû surmonter. A travers ces titres, je veux montrer aux gens que la vie n’est ni belle, ni moche mais qu’elle est simplement comme on décide de la voir !