Art & Culture • Monaco
Marion Soler, Présidente nationale 2020
Directrice générale de la société Actis, récemment élue Présidente Nationale de la Jeune Chambre Economique de Monaco (JCEM) Marion Soler est une avocate de formation qui a pour ambition d’insuffler toujours plus d’innovation et une pointe d’audace au mouvement monégasque.
> Pourriez-vous revenir sur votre parcours au sein de la JCEM ?
J’ai découvert la Jeune Chambre en accompagnant mon patron, Thierry Leray, directeur du groupe Telis à plusieurs Business Time. J’ai découvert une merveilleuse association avec des valeurs et des principes dans lesquels je me suis tout de suite retrouvée. J’ai donc décidé de devenir membre dès 2016. J’ai d’abord intégré la commission du Startup Weekend. Je me suis régalée, c’est un rendez-vous orienté vers l’innovation avec un format assez particulier puisqu’il dure tout un weekend. J’ai ensuite enchaîné avec Get in The Ring puis l’année suivante, Olena Prykhodko, présidente 2018 m’a fait confiance et m’a confié la prise en charge des formations. En 2019, Alexandre Maniloff m’a renouvelé sa confiance en me nommant vice-présidente entrepreneuriat et c’est finalement en octobre 2019 que j’ai été élue Présidente nationale 2020 pour un mandat d’un an.
> Devenir Présidente nationale était une évidence…
Ce n’était pas mon objectif premier en intégrant la Jeune Chambre, je ne suis pas venue pour ça, mais naturellement en évoluant au fil des années, en prenant de plus en plus de responsabilités et en évoluant à travers différents postes, j’ai rapidement voulu relever ce défi. Un challenge dans lequel je me suis engagée après avoir été certaine du soutien de mes équipes et bien évidemment de mon patron, Thierry Leray. C’était essentiel.
> Quels sont les axes de votre présidence ?
Ma vision est très claire. Développer l’attractivité monégasque par l’action et l’innovation. Je tiens à me positionner dans la continuité de ce que propose la Jeune Chambre depuis plusieurs années. Nous sommes devenus un mouvement de plus en plus professionnel, orienté vers l’économie et le business. Nous avons un public de plus en plus large, avec des rendez-vous d’envergure comme les Petits-déjeuners conférences, liés à l’actualité économique locale et les Business Time qui permettent d’aborder plusieurs thématiques à travers un angle économique. Cette année, nous allons d’ailleurs étendre les sujets traités avec des thèmes tels que les jeux vidéos, l’art ou encore la gastronomie. Des domaines dans lesquels Monaco excelle et rayonne à l’international.
> Quelles sont vos projets phares pour 2020 ?
De nombreuses choses sont prévues et notamment à l’international. La JCI (Jeune Chambre Internationale) c’est 200 000 membres dans le monde, répartis à travers 110 pays. Tout au long de l’année, plusieurs rendez-vous sont organisés. Des événements majeurs auxquels une délégation monégasque participe. Lors de ces déplacements, j’aurai l’honneur de représenter Monaco et je vois ce rôle comme une manière de démontrer hors frontières que la Principauté n’est pas uniquement le pays du Grand Prix et du Yachting, c’est également une terre d’entrepreneurs, de PME et de startups audacieuses… Je souhaite également proposer que Monaco accueille une réunion des présidents. Chaque année, cela se produit dans un pays différent et nous allons tout faire pour que cela puisse se dérouler en Principauté en 2024.
> Est-ce que la JCEM est un tremplin ?
L’implication que l’on va avoir au sein de la Jeune Chambre, la manière dont on donne de notre temps et les valeurs que l’on va porter… Tout cela va rejaillir sur notre vie professionnelle. Lorsqu’un membre s’engage à réaliser des missions et qu’il le fait bien, cela démontre à tous son professionnalisme. Nous nous sommes éloignés de l’aspect simplement social qu’à pu avoir la JCEM pour se positionner sur quelque chose de très économique. Et c’est en cela que nous sommes un tremplin pour les leaders de demain. Sans être en concurrence avec le MEB ou les actions du gouvernement pour le développement de l’attractivité, bien au contraire, nous souhaitons être un vecteur de ces initiatives. Nous avons l’ambition de démontrer aux jeunes de Monaco ou de la Côte d’Azur l’étendue des opportunités que ce pays peut leur offrir.
> Pourriez-vous revenir sur votre parcours au sein de la JCEM ?
J’ai découvert la Jeune Chambre en accompagnant mon patron, Thierry Leray, directeur du groupe Telis à plusieurs Business Time. J’ai découvert une merveilleuse association avec des valeurs et des principes dans lesquels je me suis tout de suite retrouvée. J’ai donc décidé de devenir membre dès 2016. J’ai d’abord intégré la commission du Startup Weekend. Je me suis régalée, c’est un rendez-vous orienté vers l’innovation avec un format assez particulier puisqu’il dure tout un weekend. J’ai ensuite enchaîné avec Get in The Ring puis l’année suivante, Olena Prykhodko, présidente 2018 m’a fait confiance et m’a confié la prise en charge des formations. En 2019, Alexandre Maniloff m’a renouvelé sa confiance en me nommant vice-présidente entrepreneuriat et c’est finalement en octobre 2019 que j’ai été élue Présidente nationale 2020 pour un mandat d’un an.
> Devenir Présidente nationale était une évidence…
Ce n’était pas mon objectif premier en intégrant la Jeune Chambre, je ne suis pas venue pour ça, mais naturellement en évoluant au fil des années, en prenant de plus en plus de responsabilités et en évoluant à travers différents postes, j’ai rapidement voulu relever ce défi. Un challenge dans lequel je me suis engagée après avoir été certaine du soutien de mes équipes et bien évidemment de mon patron, Thierry Leray. C’était essentiel.
> Quels sont les axes de votre présidence ?
Ma vision est très claire. Développer l’attractivité monégasque par l’action et l’innovation. Je tiens à me positionner dans la continuité de ce que propose la Jeune Chambre depuis plusieurs années. Nous sommes devenus un mouvement de plus en plus professionnel, orienté vers l’économie et le business. Nous avons un public de plus en plus large, avec des rendez-vous d’envergure comme les Petits-déjeuners conférences, liés à l’actualité économique locale et les Business Time qui permettent d’aborder plusieurs thématiques à travers un angle économique. Cette année, nous allons d’ailleurs étendre les sujets traités avec des thèmes tels que les jeux vidéos, l’art ou encore la gastronomie. Des domaines dans lesquels Monaco excelle et rayonne à l’international.
> Quelles sont vos projets phares pour 2020 ?
De nombreuses choses sont prévues et notamment à l’international. La JCI (Jeune Chambre Internationale) c’est 200 000 membres dans le monde, répartis à travers 110 pays. Tout au long de l’année, plusieurs rendez-vous sont organisés. Des événements majeurs auxquels une délégation monégasque participe. Lors de ces déplacements, j’aurai l’honneur de représenter Monaco et je vois ce rôle comme une manière de démontrer hors frontières que la Principauté n’est pas uniquement le pays du Grand Prix et du Yachting, c’est également une terre d’entrepreneurs, de PME et de startups audacieuses… Je souhaite également proposer que Monaco accueille une réunion des présidents. Chaque année, cela se produit dans un pays différent et nous allons tout faire pour que cela puisse se dérouler en Principauté en 2024.
> Est-ce que la JCEM est un tremplin ?
L’implication que l’on va avoir au sein de la Jeune Chambre, la manière dont on donne de notre temps et les valeurs que l’on va porter… Tout cela va rejaillir sur notre vie professionnelle. Lorsqu’un membre s’engage à réaliser des missions et qu’il le fait bien, cela démontre à tous son professionnalisme. Nous nous sommes éloignés de l’aspect simplement social qu’à pu avoir la JCEM pour se positionner sur quelque chose de très économique. Et c’est en cela que nous sommes un tremplin pour les leaders de demain. Sans être en concurrence avec le MEB ou les actions du gouvernement pour le développement de l’attractivité, bien au contraire, nous souhaitons être un vecteur de ces initiatives. Nous avons l’ambition de démontrer aux jeunes de Monaco ou de la Côte d’Azur l’étendue des opportunités que ce pays peut leur offrir.